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IMG 9976Comme Anthony Cosson nous l’avait laissé entendre à l’arrivée de la précédente boucle alors qu’il venait de prendre la tête de l’épreuve, la mécanique de la Porsche n’a pas tenu. C’est dans l’ES8 qu’il a dû se résoudre à rendre son carnet de bord. Michaël Lobry retrouve donc son bien et n’a plus qu’à dérouler jusqu’à l’arrivée.

En effet, après un parcours pour le moment sans faute, le leader du championnat de France de 2ème division se retrouve seul en tête avec une avance conséquente de plus d’une minute sur Florian Cordillot qui lui-même possède plus d’une minute d’avance sur Guy Mottard. Le tiercé de tête semble donc bien établi. Il reste trois spéciales avant de confirmer ce podium final.

Faits marquants
Alors qu’il avait réglé ses problèmes de vibrations, c’est finalement le pont arrière qui aura eu raison de la prestation d’André Jézéquel sur ce rallye de Bretagne qui ne veut décidément plus lui sourire depuis ses victoires de 2012 et 2013.
Romain Guenec qui tenait une belle 4ème place casse le support d’accélérateur de sa Citroën C2 dans l’ES10. Il perd 8 minutes pour réparer mais rentre tout de même au parc.

Ils ont dit
Michaël Lobry (Mitsubishi Evo X) : « Maintenant qu’Anthony n’est plus là, on va pouvoir dérouler jusqu’à l’arrivée. Nous sommes quand même dans des conditions très particulières avec tous ces abandons. Il va donc falloir aller au bout. On reste sur le propre et on se fait plaisir.»
Florian Cordillot (Renault Clio R3) : « Nous avons amélioré de 2 à 3 secondes par spéciale sur cette boucle. On roule propre et vite. On ne peut pas aller chercher Michaël et il faut surveiller Guy Mottard qui est très rapide derrière. Même s’il est à une minute il faut rester vigilent. C’est vrai que ce résultat serait une très belle récompense pour toute l’équipe et nos partenaires. On va garder le rythme et on verra tout à l’heure… »
Guy Mottard (Peugeot 306 Maxi) : « J’ai attaqué dans ce tour et on vient de faire le scratch dans l’ES9 du Scorff. C’est celle que je préfère et on s’est régalé. On est de mieux en mieux et la voiture marche parfaitement. On a beaucoup travaillé pour la mettre au point depuis un an, je la retrouve telle qu’elle était, ça me fait plaisir. »
Jean Pierre Landron (Mitsubishi Evo 10) : « C’est dur. Il faut se forcer pour suivre le rythme. Je roule à ma main car nous avons vraiment envie de terminer. On prend un grand plaisir, les spéciales sont magnifiques. »
Grégory Denié (Renault Clio) : « Les spéciales sont extraordinaires. Cette épreuve rentre dans le top trois des plus belles auxquelles j’ai pu participer. Les absents ont vraiment eu tort de s’abstenir. Du coup ça manque un peu de bagarre et c’est bien dommage. Maintenant il faut aller au bout et tout sera parfait. »


VHC
Ils étaient 7 au départ et ne sont plus que 4 à l’entame de cette dernière boucle. Hormis l’ES5 remportée par Claude Cadillon (BMW320), toutes les spéciales du jour ont été remportées par Bruno Cadillon (Peugeot 205 GTI). Ce dernier est donc confortablement installé en tête devant Claude. En troisième position on trouve l’Alfa Roméo de Gurwann Chevance qui était heureux de nous annoncer à l’entrée du parc que tout semblait enfin fonctionner comme il le voulait. La superbe Porsche 356 de Franck Picot ferme la marche.


VHRS
Philippe Quiboeuf place sa Porsche en tête pour 5 secondes devant l'Alfa Roméo GTV2000 de Pascal Baconnais. Jean Jacques Bossay complète le podium provisoire au volant de son Opel Manta GTE.

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